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L’enquête annuelle sur l’insertion des jeunes diplômés des Grandes écoles membres de la Conférence des grandes écoles vient de paraître. Le taux net d’emploi à 6 mois, le niveau des salaires et le pourcentage de CDI n’ont jamais été aussi élevés. Et le stage reste la principale porte d’entrée des jeunes diplômés dans l’entreprise. Seul ombre au tableau : l’écart de salaire entre femmes et hommes reste élevé. « Avec 9 diplômés sur 10 en activité moins de 6 mois après leur diplomation, et 8 sur 10 en moins de 2 mois, les indicateurs enregistrés sont les plus élevés depuis 2010 » souligne Anne-Lucie Wack, présidente de la CGE.
Le taux net d’emploi reste stable et très élevé pour l’ensemble des diplômés : 89,5 % contre 89,4 % en 2018. Une augmentation significative des embauches des diplômés d’écoles d’ingénieurs est observée : le taux net d’emploi à 6 mois passe la barre des 90 %. Autre point saillant et inédit : 65,2 % des étudiants des Grandes écoles ont trouvé un emploi avant même l’obtention de leur diplôme, soit 3 points de plus que la promotion sortante dans l’enquête 2018. « Les diplômés des Grandes écoles sont littéralement aspirés par les entreprises pour près de 2/3 d’entre eux avant même leur sortie de l’école », souligne Anne-Lucie Wack. Concernant l’accès à l’emploi, sans surprise le rôle des réseaux sociaux professionnels progresse de 2 points depuis l’année dernière. Toutefois, le stage de fin d’études reste en 2019 la première porte d’entrée dans l’entreprise. Il permet à 29,4 % des jeunes diplômés d’accéder à l’emploi, contre 28,5 % en 2018.
Dans la continuité des précédentes enquêtes, la part des contrats à durée indéterminée progresse encore : cette année, 82,2 % des jeunes diplômés sont embauchés directement en CDI (soit une hausse de 1 point par rapport à l’enquête 2018). Ce chiffre est supérieur à la moyenne nationale : en France, 68 % des jeunes disposant d’un Bac+5 bénéficient d’un CDI un an après l’obtention de leur diplôme. 90% des diplômés hors ceux en études, en thèses ou volontairement sans activité.
« L’enquête 2019 confirme que l’apprentissage dans les Grandes écoles est une voie d’excellence et un vrai passeport pour l’emploi », souligne Anne-Lucie Wack. Pour les 15,5 % des diplômés 2018 ayant réalisé leur cursus en apprentissage, le taux net d’emploi à 6 mois s’élève à 90,3 %. Ce taux est supérieur de 0,8 points à celui de l’ensemble des diplômés des Grandes écoles (89,5 %). 36,1 % des apprentis sont embauchés dans leur entreprise d’accueil. Autre fait marquant : 84,4 % des apprentis décrochent un CDI ; un taux supérieur de 2,2 points à celui de l’ensemble des diplômés des Grandes écoles (82,2 %).
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En 2019, le salaire brut moyen annuel proposé aux jeunes diplômés dès leur entrée dans la vie active connaît une augmentation significative. En France, celui-ci s’établit à 34 920 € (hors primes), contre 34 122 € l’année dernière, soit une hausse de 2,2 % pour les ingénieurs et de 2,6 % pour les managers. A l’international (tous pays confondus), avec 35 948 € (hors primes) contre 34 918 € en 2018, le salaire moyen à l’embauche est lui aussi en augmentation.
Taux net d’emploi, CDI, statut de cadre, salaires, tous les indicateurs sont moins favorables aux femmes, avec des écarts comparables à ceux des années précédentes : « Ce qui est le plus frappant c’est que, même dans le contexte actuel où les entreprises se battent pour recruter nos diplômés, le différentiel femmes-hommes perdure, en défaveur des femmes ! Chaque année nous faisons ce constat alarmant et nous nous employons à analyser et combattre les déterminants de cette inégalité » déclare Anne-Lucie Wack. En ce qui concerne plus précisément la rémunération, l’écart de salaire à l’embauche observé entre femmes et hommes est de 6,08 %. Le statut cadre est l’un des principaux facteurs déterminants de cette différence : 1,56 point dans l’écart de salaire femmes-hommes s’explique par une proportion inférieure de femmes embauchées sous le statut cadre. En outre, le nombre moins important de jeunes diplômées en CDI augmente l’écart de 0,62 point. « Le différentiel s’explique aussi par le fait que les femmes choisissent plus fréquemment des fonctions et des secteurs moins rémunérateurs » commente Anne-Lucie Wack. Elles sont sous-représentées dans certains secteurs d’activité comme l’informatique et l’industrie des transports, où les salaires sont en général plus élevés.
Bien que l’international séduise toujours – 1 jeune sur 8 opte pour un premier emploi à l’étranger – les étudiants des Grandes écoles privilégient la France. En effet, 87 % des jeunes diplômés choisissent un premier emploi dans l’Hexagone ; un taux stable depuis l’année dernière. Parmi les jeunes diplômés qui optent pour l’international, le choix s’oriente principalement vers le Royaume-Uni, la Suisse, l’Allemagne, le Luxembourg et la Chine.
En 2019, 38,9 % des diplômés des Grandes écoles ont privilégié une entreprise de moins de 250 salariés. Un chiffre quasiment égal à celui de l’an dernier (39,3 %) et qui témoigne de l’intérêt des étudiants pour les entreprises à taille humaine. « Les diplômés des Grandes écoles travaillent dans tous les types d’entreprises du pays, 40 % dans les TPE et PME, 30 % dans les ETI et 30 % dans les grands groupes » souligne Anne-Lucie Wack. L’entrepreneuriat, qui avait progressé de manière significative en 2018, reste stable. 3,1 % des jeunes diplômés ont choisi, en 2019, de créer ou de reprendre une entreprise (contre 3,3 % en 2018). Ce chiffre est plus élevé pour les diplômés d’écoles de management : 4,9 %.
83,7 % des jeunes diplômés se disent « très satisfaits » ou « satisfaits » de leur emploi. Un excellent score, en augmentation par rapport à l’année 2018 (82,8 %) ! Les diplômés étaient interrogés sur : les conditions de travail, les relations avec leurs collègues, le niveau de rémunération, le niveau d’autonomie et de responsabilité, la localisation géographique. « A l’heure où les jeunes sont plus que jamais animés par une quête de sens au sein de l’univers professionnel, savoir que plus de 8 diplômés sur 10 sont en phase avec leur emploi est une réelle satisfaction pour les Grandes écoles membres de la CGE » commente Anne-Lucie Wack.
Téléchargez l’infographie « L’Insertion professionnelle des diplômés »- 2019